Aussi magnétique que la regrettée Lhasa, Alejandra Ribera est l'une des grandes dames de la bohème folk. Ecorchée vive, voix de velours, son paysage intérieur navigue des eaux tempétueuses d'un cœur brisé au souffle d'après l'épreuve. Il y a de l'intention vitale dans sa musique, une émotion pure. Dans son odyssée, elle a embarqué les orfèvres de la folk de Montréal dont les musiciens de Patrick Watson. Elle chante en anglais, français et espagnol, un répertoire de voyages et d'amour, beau comme un nuage d'altitude ayant bravé les orages. Elle réenchante le blues en funambule.
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