Kēpa est un one-man-band. Un artiste autodidacte tout-en-un donc : compositeur, interprète, il manie sa guitare à résonateur comme il joue avec son harmonica, de manière débridée et inspirée. L’accueil de la critique et du public pour
Doctor Do Something, son premier album, est la suite logique de son passage remarqué à l’Olympia, en première partie de Gregory Porter, excusez du peu. Avec
Divine Morphine, le musicien bayonnais habille son blues lent et hypnotique d’effets sonores du XXIème siècle. Un post modern-blues ? Peut-être. Toujours est-il qu’avec sa voix de crooner euphorisante, sa caisse claire et son attirail sonore, Kēpa va nous entraîner à la dérive, du côté des grands espaces américains, définitivement libres et heureux.
Divine Morphine, Miliani/L’autre Distrib
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La Cloche qui développe des projets en faveur des personnes en situation de grande précarité.