RegarderECC 2023 au Rocher // Table Ronde #1 avec Erwan RUTY, François GAUTRET et Uli Gläß
Tables rondes ECC au Rocher #4
#forumdurocher #eccaurocher #rocherdepalmer #cenon
Mar 28 Mar 2023 | 10:00-17:45
Des rencontres professionnelles pour échanger sur l'entrepreneuriat culturel et créatif, l’accompagnement, l’insertion professionnelle, les quartiers prioritaires, la place des droits culturels et de l'ESS...
10:00-11:45 | ART ET CULTURES URBAINES : QUELLE PLACE DANS L’ACCOMPAGNEMENT, L’INSERTION SOCIALE ET PROFESSIONNELLE DES PERSONNES ? REGARDS CROISÉS ENTRE LA FRANCE ET L’ALLEMAGNE
INSERTION ● INTERDISCIPLINARITÉ ● TERRITOIRE ● QUARTIERS PRIORITAIRES ● DROITS CULTURELS
Les cultures urbaines se définissent par des pratiques inspirées par l’environnement urbain comme le langage ou un style vestimentaire, les modes de déplacement… Aujourd’hui, on parle plus souvent de culture hip-hop, née aux États-Unis à la fin des années 70, qui se sert de l’espace urbain des villes comme scène ou décor. Multidisciplinaire, la culture hip hop se manifeste notamment par les arts, comme, la danse, la musique, la mode, le sport, le graffiti ou encore les arts visuels qui englobent les arts appliqués comme le graphisme ou le design, ainsi que des techniques comme la photographie, le cinéma, la vidéo et les nouveaux médias.
Tous sont ainsi autant de moyens d’expression pour des jeunes, notamment ceux issus de quartiers populaires en quête d’une identité propre. En France, celle-ci s’est surtout développée dans les banlieues en opposition à une culture dite bourgeoise et “standardisée”.
En quoi ces secteurs et celui de la culture et des arts en général peuvent-être vecteur d’insertion sociale et professionnelle ? Comment animer et développer ce type de dynamique sur un territoire ? Tentative de réponse avec un regard croisé entre l’Allemagne et la France, notamment au travers de dynamiques qui ont existé ou qui existent (Médialab93 en France, Imal en Allemagne…)
Avec :
Erwan RUTY | Paris - Bordeaux
Auteur de « Une histoire des banlieues françaises » (2019, Éditions François Bourin). Fondateur du Médialab93, incubateur qui soutient les jeunes créatifs en Seine-Saint-Denis. Fondateur et rédacteur en chef du journal Presse & Cité.
Pour aller plus loin
François GAUTRET | Paris
Fondateur en 2000 de l’association Rstyle, structure de promotion de toutes les cultures urbaines. Commissaire d’exposition à la Philharmonie de Paris, pour l’expo: “Hip-hop 360”.
www.rstyle.fr
Uli Gläß | Munich (Allemagne)
Présent à Bordeaux dans le cadre du projet européen Creative Invisibles
Fondateur et directeur de Kontraprunkt, association qui croise l’art, la culture, le social, la formation et la production artistique professionnelle comme base de ses méthodes de travail. Depuis 20 ans, il développe le dispostif IMAL qui propose à des jeunes adultes (16-24 ans) exclus des systèmes de formation classiques de s’insérer dans un processus de formation professionnelle dans les arts visuels.
imal.info
Découvrir projet Erasmus+ Creative Invisbles
Modérateur :
Mehdi HAZGUI | Bordeaux
Sociologue - Consultant
www.mehdi-hazgui.com
14:00-15:45 | COOPÉRATION ET ENTREPRENEURIAT CULTUREL ET CRÉATIF À PETITE OU GRANDE ÉCHELLE : INTÉRÊTS ET LIMITES ?
ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE ● ENTREPRENEURIAT ● COOPERATION ● PAIR TO PAIR ● ACCOMPAGNEMENT
L’acte de coopérer se définit par l’action de participer à plusieurs à une œuvre ou à une action commune. Ce mode de fonctionnement nous fait dire, à l’instar de ce célèbre proverbe africain « seul on va plus vite, ensemble on va plus loin », que coopérer peut permettre et rendre efficient le développement de son activité, qu’elle soit artistique et/ou entrepreneuriale. On y associe alors souvent (pour ne citer qu’eux) les mots de complémentarité, solidarité, co-construction ou encore vivre ensemble.
La récente pandémie nous a montrée l’importance de « la relation à l’autre » impactant le développement aussi bien individuel que collectif, personnel que professionnel. Dans le secteur culturel et créatif, « la crise a aussi mis en lumière l’importance des structures de soutien et de coopération auxquels les acteurs recourent pour réaliser leurs projets et/ou vivre ces expériences qui touchent tout à la fois à leur sensibilité, leur imagination et leur intellect. » *1
Que signifie aujourd’hui coopérer dans le secteur culturel et artistique ? Comment ces formes de coopération (Coopérative d’Activité́ et d’Emploi (CAE), le groupement d’employeurs, des personnes ou structures réunies en collectif…) fonctionnent-elles (d’un point de vue technique, juridique, économique) ? En quoi cela peut être un levier pour développer son activité artistique et/ou entrepreneuriale ? Quels sont les avantages et les limites de la coopération ? Cette table ronde tentera de répondre à ces questions en présentant le contexte dans lequel la coopération peut se développer à petite et grande échelle avec exemples à l’appui.
Avec :
Philippe HENRY | Paris
Chercheur en socio-économie de la culture, Maître de conférences HDR, poursuit ses recherches sur les spécificités de l’économie et de l’entrepreneuriat dans le secteur culturel.
Auteur notamment de « Un nouveau référentiel pour la culture ? Pour une économie coopérative de la diversité culturelle » (2014, Éditions de l’Attribut) et « Les groupements culturels coopératifs, comment œuvrer ensemble tout en restant chacun singulier ? » (2022, Presses Universitaires de Grenoble).
Découvrir l’ouvrage « Les groupements culturels coopératifs, comment œuvrer ensemble tout en restant chacun singulier ? »
Laurine KOTTE | Angoulême
Honka Tonks I Entreprise de dessin d’animation et de graphisme, spécialisée dans l’évènementiel et la musique. Salarié-associé de la Coopérative d’Activité et d’Emplois Consortium Coopérative / Coop A Cabana
Découvrir son activité
honkatonks.com
Magali NOVION | Bordeaux
Chargée de développement - Fabrique Pola (Fabrique Artistique et Culturelle) récemment labellisé PTCE (Pôle Territorial de Coopération Économique).
La Fabrique Pola
Modératrice : Amélia GUSTAVE | Bordeaux
Cheffe de projet Recherche et Prospective à la CRESS (Chambre Régionale de l’Économie Sociale et Solidaire) Nouvelle-Aquitaine. Ingénieure de projet de la Chaire Territoires de l’ESS
www.cress-na.org
*1 - Extrait de l’ouvrage de Philippe Henry : « Les groupements culturels coopératifs, comment œuvrer ensemble tout en restant chacun singulier ? » (2022, Presses Universitaires de Grenoble)
16:00-17:45 | ENTRE ENGAGEMENT PROFESSIONNEL ET VIE PERSONNELLE : COMMENT ENTREPRENDRE OU TRAVAILLER TOUT EN VEILLANT À SON PROPRE ÉQUILIBRE ET À SA QUALITE DE VIE ?
QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL ● ENTREPRENEURIAT ● ENTREPRISE ● ASSOCIATION
La recherche d’une meilleure qualité de vie au travail se situe de plus en plus au centre des préoccupations des personnes, que l’on soit entrepreneur ou salarié d’une association ou entreprise. Une préoccupation liée notamment au besoin de bien-être, à la question de l’harmonie des vies professionnelles et personnelles, mais aussi à l’intérêt à l’engagement et aux conditions du secteur d’activité dans lequel nous travaillons.
Depuis la crise sanitaire, le sujet de la QVCT *1 (pour Qualité de Vie et Conditions de Travail) est passé sur le devant de la scène. Télétravail, management à distance, coworking, bureau fixe et-ou partagé, repenser ses horaires et son rythme, mobilité… : les possibilités sont nombreuses et les cartes semblent se rebattre. Comment intégrer les besoins et leviers individuels, collectifs et organisationnels aussi dans les périodes de changement et transition ?
Quand on est entrepreneur, « créer son entreprise en conjuguant ses aspirations personnelles, ses souhaits de liberté et d'ambition, ses valeurs et convictions est effectivement une des voies majeures pour retrouver du sens au travail » *2. Mais cela peut aussi être source d’engagement professionnel accrue, sur une amplitude horaire importante avec la difficulté à concilier travail et famille (envahissement de la sphère travail sur la sphère personnelle, incertitude financière, sentiment de solitude…).
Quel état des lieux pouvons-nous faire aujourd’hui sur la situation ? Quels changements s’opèrent-ils et vers quels types de fonctionnement nous dirigeons-nous ? Comment peut-on faire évoluer les pratiques ? Quelles nouvelles pratiques, comment « s’écouter » et comment se faire aider pour avancer sur ces questions ?
Avec :
Hélène HARVENT | Poitiers
Chargée de mission ARACT Nouvelle-Aquitaine I Agence Régionale pour l'Amélioration des Conditions de Travail. Intervenante en prévention des risques professionnels (RPS, Risques socio organisationnels, QVCT, égalité professionnelle et inclusion, dialogue professionnel…), innovation sociale et organisationnelle et management du travail. De formation RH, ergonomie et psychologie du travail. Expérience en management et RH pendant 15 ans.
L’ANACT
Marissa LEPAPE | Bordeaux
Psychosociologue, formatrice et chargée de projet pédagogique pour le compte du département, risques professionnels de la CARSAT (organismes de sécurité sociale et assureur), chercheuse citoyenne.
Guillaume MICHEL | Bordeaux
Consultant / gérant de la SCOP Du vert dans les rouages, qui accompagne la transformation écologique des territoires et des entreprises par une approche transdisciplinaire mobilisant à la fois l'expertise environnementale et les sciences humaines.
Du vert dans les rouages
Modératrice :
Elodie CAILLAUD | Bordeaux
Fondatrice et dirigeante de Coorelations, organisme de formation et d’accompagnement qui propose d’amener les organisations et les personnes à une meilleure Santé, Qualité de Vie et Conditions de Travail.
Coorelations
Table ronde préparée avec la complicité d’Elodie Caillaud (modératrice de la table ronde) et Chloé Rouger (Responsable projet richesses humaines à AGEC / CO : agec-culture.com)
1* - Définition de d’Accord National Interprofessionnel (ANI) de 2013, cité dans l’article « Qualité de vie au travail, guide en 6 questions »
2* - Extrait de l’article paru sur BPIFrance « Entreprendre pour trouver le bien-être au travail »
INSERTION ● INTERDISCIPLINARITÉ ● TERRITOIRE ● QUARTIERS PRIORITAIRES ● DROITS CULTURELS
Les cultures urbaines se définissent par des pratiques inspirées par l’environnement urbain comme le langage ou un style vestimentaire, les modes de déplacement… Aujourd’hui, on parle plus souvent de culture hip-hop, née aux États-Unis à la fin des années 70, qui se sert de l’espace urbain des villes comme scène ou décor. Multidisciplinaire, la culture hip hop se manifeste notamment par les arts, comme, la danse, la musique, la mode, le sport, le graffiti ou encore les arts visuels qui englobent les arts appliqués comme le graphisme ou le design, ainsi que des techniques comme la photographie, le cinéma, la vidéo et les nouveaux médias.
Tous sont ainsi autant de moyens d’expression pour des jeunes, notamment ceux issus de quartiers populaires en quête d’une identité propre. En France, celle-ci s’est surtout développée dans les banlieues en opposition à une culture dite bourgeoise et “standardisée”.
En quoi ces secteurs et celui de la culture et des arts en général peuvent-être vecteur d’insertion sociale et professionnelle ? Comment animer et développer ce type de dynamique sur un territoire ? Tentative de réponse avec un regard croisé entre l’Allemagne et la France, notamment au travers de dynamiques qui ont existé ou qui existent (Médialab93 en France, Imal en Allemagne…)
Avec :
Erwan RUTY | Paris - Bordeaux
Auteur de « Une histoire des banlieues françaises » (2019, Éditions François Bourin). Fondateur du Médialab93, incubateur qui soutient les jeunes créatifs en Seine-Saint-Denis. Fondateur et rédacteur en chef du journal Presse & Cité.
Pour aller plus loin
François GAUTRET | Paris
Fondateur en 2000 de l’association Rstyle, structure de promotion de toutes les cultures urbaines. Commissaire d’exposition à la Philharmonie de Paris, pour l’expo: “Hip-hop 360”.
www.rstyle.fr
Uli Gläß | Munich (Allemagne)
Présent à Bordeaux dans le cadre du projet européen Creative Invisibles
Fondateur et directeur de Kontraprunkt, association qui croise l’art, la culture, le social, la formation et la production artistique professionnelle comme base de ses méthodes de travail. Depuis 20 ans, il développe le dispostif IMAL qui propose à des jeunes adultes (16-24 ans) exclus des systèmes de formation classiques de s’insérer dans un processus de formation professionnelle dans les arts visuels.
imal.info
Découvrir projet Erasmus+ Creative Invisbles
Modérateur :
Mehdi HAZGUI | Bordeaux
Sociologue - Consultant
www.mehdi-hazgui.com
14:00-15:45 | COOPÉRATION ET ENTREPRENEURIAT CULTUREL ET CRÉATIF À PETITE OU GRANDE ÉCHELLE : INTÉRÊTS ET LIMITES ?
ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE ● ENTREPRENEURIAT ● COOPERATION ● PAIR TO PAIR ● ACCOMPAGNEMENT
L’acte de coopérer se définit par l’action de participer à plusieurs à une œuvre ou à une action commune. Ce mode de fonctionnement nous fait dire, à l’instar de ce célèbre proverbe africain « seul on va plus vite, ensemble on va plus loin », que coopérer peut permettre et rendre efficient le développement de son activité, qu’elle soit artistique et/ou entrepreneuriale. On y associe alors souvent (pour ne citer qu’eux) les mots de complémentarité, solidarité, co-construction ou encore vivre ensemble.
La récente pandémie nous a montrée l’importance de « la relation à l’autre » impactant le développement aussi bien individuel que collectif, personnel que professionnel. Dans le secteur culturel et créatif, « la crise a aussi mis en lumière l’importance des structures de soutien et de coopération auxquels les acteurs recourent pour réaliser leurs projets et/ou vivre ces expériences qui touchent tout à la fois à leur sensibilité, leur imagination et leur intellect. » *1
Que signifie aujourd’hui coopérer dans le secteur culturel et artistique ? Comment ces formes de coopération (Coopérative d’Activité́ et d’Emploi (CAE), le groupement d’employeurs, des personnes ou structures réunies en collectif…) fonctionnent-elles (d’un point de vue technique, juridique, économique) ? En quoi cela peut être un levier pour développer son activité artistique et/ou entrepreneuriale ? Quels sont les avantages et les limites de la coopération ? Cette table ronde tentera de répondre à ces questions en présentant le contexte dans lequel la coopération peut se développer à petite et grande échelle avec exemples à l’appui.
Avec :
Philippe HENRY | Paris
Chercheur en socio-économie de la culture, Maître de conférences HDR, poursuit ses recherches sur les spécificités de l’économie et de l’entrepreneuriat dans le secteur culturel.
Auteur notamment de « Un nouveau référentiel pour la culture ? Pour une économie coopérative de la diversité culturelle » (2014, Éditions de l’Attribut) et « Les groupements culturels coopératifs, comment œuvrer ensemble tout en restant chacun singulier ? » (2022, Presses Universitaires de Grenoble).
Découvrir l’ouvrage « Les groupements culturels coopératifs, comment œuvrer ensemble tout en restant chacun singulier ? »
Laurine KOTTE | Angoulême
Honka Tonks I Entreprise de dessin d’animation et de graphisme, spécialisée dans l’évènementiel et la musique. Salarié-associé de la Coopérative d’Activité et d’Emplois Consortium Coopérative / Coop A Cabana
Découvrir son activité
honkatonks.com
Magali NOVION | Bordeaux
Chargée de développement - Fabrique Pola (Fabrique Artistique et Culturelle) récemment labellisé PTCE (Pôle Territorial de Coopération Économique).
La Fabrique Pola
Modératrice : Amélia GUSTAVE | Bordeaux
Cheffe de projet Recherche et Prospective à la CRESS (Chambre Régionale de l’Économie Sociale et Solidaire) Nouvelle-Aquitaine. Ingénieure de projet de la Chaire Territoires de l’ESS
www.cress-na.org
*1 - Extrait de l’ouvrage de Philippe Henry : « Les groupements culturels coopératifs, comment œuvrer ensemble tout en restant chacun singulier ? » (2022, Presses Universitaires de Grenoble)
16:00-17:45 | ENTRE ENGAGEMENT PROFESSIONNEL ET VIE PERSONNELLE : COMMENT ENTREPRENDRE OU TRAVAILLER TOUT EN VEILLANT À SON PROPRE ÉQUILIBRE ET À SA QUALITE DE VIE ?
QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL ● ENTREPRENEURIAT ● ENTREPRISE ● ASSOCIATION
La recherche d’une meilleure qualité de vie au travail se situe de plus en plus au centre des préoccupations des personnes, que l’on soit entrepreneur ou salarié d’une association ou entreprise. Une préoccupation liée notamment au besoin de bien-être, à la question de l’harmonie des vies professionnelles et personnelles, mais aussi à l’intérêt à l’engagement et aux conditions du secteur d’activité dans lequel nous travaillons.
Depuis la crise sanitaire, le sujet de la QVCT *1 (pour Qualité de Vie et Conditions de Travail) est passé sur le devant de la scène. Télétravail, management à distance, coworking, bureau fixe et-ou partagé, repenser ses horaires et son rythme, mobilité… : les possibilités sont nombreuses et les cartes semblent se rebattre. Comment intégrer les besoins et leviers individuels, collectifs et organisationnels aussi dans les périodes de changement et transition ?
Quand on est entrepreneur, « créer son entreprise en conjuguant ses aspirations personnelles, ses souhaits de liberté et d'ambition, ses valeurs et convictions est effectivement une des voies majeures pour retrouver du sens au travail » *2. Mais cela peut aussi être source d’engagement professionnel accrue, sur une amplitude horaire importante avec la difficulté à concilier travail et famille (envahissement de la sphère travail sur la sphère personnelle, incertitude financière, sentiment de solitude…).
Quel état des lieux pouvons-nous faire aujourd’hui sur la situation ? Quels changements s’opèrent-ils et vers quels types de fonctionnement nous dirigeons-nous ? Comment peut-on faire évoluer les pratiques ? Quelles nouvelles pratiques, comment « s’écouter » et comment se faire aider pour avancer sur ces questions ?
Avec :
Hélène HARVENT | Poitiers
Chargée de mission ARACT Nouvelle-Aquitaine I Agence Régionale pour l'Amélioration des Conditions de Travail. Intervenante en prévention des risques professionnels (RPS, Risques socio organisationnels, QVCT, égalité professionnelle et inclusion, dialogue professionnel…), innovation sociale et organisationnelle et management du travail. De formation RH, ergonomie et psychologie du travail. Expérience en management et RH pendant 15 ans.
L’ANACT
Marissa LEPAPE | Bordeaux
Psychosociologue, formatrice et chargée de projet pédagogique pour le compte du département, risques professionnels de la CARSAT (organismes de sécurité sociale et assureur), chercheuse citoyenne.
Guillaume MICHEL | Bordeaux
Consultant / gérant de la SCOP Du vert dans les rouages, qui accompagne la transformation écologique des territoires et des entreprises par une approche transdisciplinaire mobilisant à la fois l'expertise environnementale et les sciences humaines.
Du vert dans les rouages
Modératrice :
Elodie CAILLAUD | Bordeaux
Fondatrice et dirigeante de Coorelations, organisme de formation et d’accompagnement qui propose d’amener les organisations et les personnes à une meilleure Santé, Qualité de Vie et Conditions de Travail.
Coorelations
Table ronde préparée avec la complicité d’Elodie Caillaud (modératrice de la table ronde) et Chloé Rouger (Responsable projet richesses humaines à AGEC / CO : agec-culture.com)
1* - Définition de d’Accord National Interprofessionnel (ANI) de 2013, cité dans l’article « Qualité de vie au travail, guide en 6 questions »
2* - Extrait de l’article paru sur BPIFrance « Entreprendre pour trouver le bien-être au travail »
Journée organisée avec le soutien de l’Iddac - agence culturelle de la Gironde. La première table ronde de la journée s’inscrit dans le cadre du projet Creative Invisibles.
RegarderECC 2023 au Rocher // Table Ronde #2 avec Philippe HENRY, Laurine KOTTE et Magali NOVION
RegarderECC 2023 au Rocher // Table Ronde #3 avec Hélène HARVENT et Guillaume MICHEL